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i"Des objets, au commencement , occupaient tout l'espace.par l'évidence magnifique de leur présence, ils expurgeaient le quotidien de toute banalité pour lui restituer force et dignité.Poésie d'instants, fragments de vie, parcelles d'harmonie.Plus tard , ces objets ont reculé, ils se sont estompés laissant affleurer un fond qui s'est texturé, coloré et structuré.Variations infiniment subtiles de blancs, concertos de bleus immense , rugueux ou d'une insolente légèreté, rougeoiements d'oranges, d'amarantes et de roses associés, résonances tendres de verts mousse et de roses éclatants. Ces tons, tons des sentiments , accordés au prix du don que chaque artiste fait de lui-même, suggèrent la présence d'une matière initiale, commune et essentielle; ultime étape peut-être d'un exil que nous avons parfois si âprement organisé pour tenter d'exister.appel , pressant mais jamais insistant, à retrouver ce rythme des couleurs et du monde, pour mieux nous y perdre ou nous y retrouver."
Brigitte d'Hainaut, 2011
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Peindre est une mise à nu de son intérieur vers l'extérieur.
C'est traverser des mondes,
Du rugueux rocher au galet poli,
Du violent au pacifiant.
Recherche sur le sens que jamais on ne finit de trouver, en perpetuel mutation.
Peindre est une mise en abîme le long de la falaise abrupte.
Charlotte Culot |
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New York times : "The Art of the Everyday"
25 th august 1994 , by Julie Iovine
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Archéologie de la douceur
Mémoire-Vision-Conscience-Essence
Excaver, remonter à la source des formes, des émotions , tel est le destin du peintre.
Construire à partir de cette mémoire enfouie qui resurgit.
Dans la peinture de Charlotte Culot, c'est de la douceur qui remonte par vagues à la surface de la conscience.
Elle n'a jamais cessé d'occuper l'espace avec la couleur, les matières, les formes simples. Cependant, pour cette exposition à New-York, Charlotte donne à voir quelquechose de très doux , qui sommeillait depuis longtemps.
Mettre au grand jour tant de délicatesse, de subtilité, de couches archéologiques d'émotions.
La "douce force" grâce aux plis de la mémoire.
Toujours plus loin, toujours plus profond....
Exposition, New-York, 2002 |
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Isabelle Spaak - Charlotte Culot : Jaune en Si et Bleu en Sol
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Dans Cimaise N°252, Mars-Avril 1998
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Rena Lindstrom - Charlotte Culot :
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Dans Cape cod life - Mai 2012 |
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